Ce matin, cet homme sensuel a fait tomber toutes mes raisons, en m'envoyant des mails de plus en plus chauds, de plus en plus subjectifs, qui m'ont fait me déconnecter et... Fermer l'agence pour m'enfermer dans la réserve, l'appeler suite à sa demande, et entendre sa voix... Le guider vers sa jouissance sous mes mots, mes idées, mes envies, mes ordres... Explosion d'érotisme! Pour qu'il me demande de me laisser à mon tour et de jouir silencieusement dans cette réserve, humide, haletante sous l'impact de sa voix, de ses intonations, de ses ordres et directives. Je me suis laissée aller à la luxure dans mon agence en pleine matinée... Totalement irréelle et atemporelle séquence érotique!
Et là le Diable me répond simplement "Bien!" et coupe. Je suis abasourdie! C'est sec, brutal et ma tête s'enflamme... Il m'en veut! Je l'ai déçu? Je n'en sais rien... Trois milliards de sensations, d'émotions me submergent, en dînant, en papotant avec une pote sur msn, en prenant mon bain... Jusqu'à ce que ma sonnette retentisse. Il est 21h35! Je n'attends personne, lorsque je décroche l'interphone. "Ouvre moi" La voix est sèche, mais claire, je la reconnaîtrais entre toutes! Mon Diable! Mon sang ne fait qu'un tour! Excitation et angoisse mêlées.
Il entre sans un mot, passe devant moi, retire son blouson, et se tournant vers moi, sa main se plaque, empoigne ma gorge. Je sursaute. Il m'embrasse presque violemment, enfonçant sa langue dans ma bouche, serrant ma gorge. Il me plaque contre le mur du salon, et remonte ma courte robe noire, écarte le fin tissu de mon shorty et sans ménagement aucun enfonce ses doigts en moi. Je gémis sous l'intrusion de ses doigts. Sa bouche se colle à mon oreille. "çà t'a plu ce matin ce qu'il t'a fait faire?" Je lui réponds un timide oui, déclenchant un enfoncement profond de ses doigts dans mon antre. Je me cambre.
"Tu as aimé être salope en pleine matinée?"... Un nouveau oui s'échappa... Ses doigts allaient et venaient rapidement, profondément. Notre différence de taille importante me poussait à me mettre sur la pointe de pieds, à m'accrocher à ses épaules. J'haletais... "Dis moi ce que tu es!" Je n'ose lui répondre. Ses doigts poussèrent violemment. Sous mon cri, un "salope "s'échappa. "Bien!" J'entendis le bruit de sa ceinture, et empoignant mes fesses, vint me planter sur son sexe tendu. Je me sentais fondre sur lui. Il me baisait comme un fou! Violemment, bestialement, suspendue à son cou... La tête me tournait sous la fulgurance de son emprise, sous la force de son étreinte. Personne jusqu'alors ne m'avait prise ainsi, contre un mur, accrochée à un cou... Ses aller retour se faisaient de plus en plus profonds, sa bouche plaquée sur la mienne me procurait une sensation de suffocation. Je m'aperçus que je criai dans sa bouche et que la jouissance montait rapidement... Et c'est lorsque son doigt viola mon oeillet sous un coup de butoir ultime que je jouis bruyamment dans ses bras.
Il s'arrêta lentement... M'embrassa... Et me porta jusqu'à mon lit. J'avais la sensation d'être une poupée de chiffon. J'avais la tête qui carillonnait. Je pensais qu'il me déposerait délicatement sur le lit.
Or il me jeta!!! Me fit me retourner, lui présentant ainsi mes fesses, et mon sexe luisant de cette jouissance récente. Je me mis à ronronner, lorsque je sentis sa langue douce et chaude pénétrer mes chairs, laper, lécher, suçoter, râper... Je me tortillais, et émis un feulement lorsque sa langue suivit le sillage de mes fesses pour trouver mon oeillet. Sa langue se fit douce et curieuse. Je me cambrai sous ses doigts ré envahissant mon antre, trempée maintenant, et que sa langue pénétrait mon anus. Je ronronnais de bonheur... Je me sentais partir... Je me sentais chatte... Une seule envie... Continuer!! A quatre pattes sur mes draps rouges, il était derrière moi, impérieux et doux. Mais très vite la douceur laissa place à son instinct lorsque mes fesses commencèrent à aspirer sa langue. Je le sentis se redresser...
Et le morceau de cuir large entoura mon cou... Je sursautai! Sa ceinture qu'il serra doucement mais fermement au moment où son gland re-pénétra mon antre. Je gémissais, me tortillais... Totalement déconnectée! "Je vais te baiser... Tu veux?"... Oui comme une supplique. "Ah oui? et comment?" Je coulissais déjà sur sa queue, me tortillais dessus, totalement grisée par son sexe en moi. Mais il me rappela à l'ordre en tirant sur la ceinture et me répétant sèchement "Comment? Allez dis le moi!" Un très timide "comme une chienne" s'échappa de mes lèvres... "Mieux que çà!"
"Comme ta chienne!" Hurlai-je! C'est à ce moment là qu'il agrippa mes fesses et se mit à aller et venir comme un fou me faisant presque tituber. Je m'écroulai, la tête sur le lit, mais très vite il tira sur sa ceinture pour que je me redresse. J'attendais sa respiration! Je sentais son regard sur mon dos, mes reins, mes fesses, qu'une main vint claquer contre toute attente.
Il me baisait puissamment et mes mouvements de bassin s'accordaient aux siens. Son pouce se posa sur mon oeillet, et s'enfonça me faisant gémir, me cambrer comme jamais. Ses mots indécents, décadents, juste pour moi jaillissaient de sa bouche, sa voix me grisant... La sueur coulait sur mes tempes, mes cheveux se collaient à mon visage, je cherchais ma respiration... Et je jouis violemment lorsque ses doigts vinrent pincer mon clito. Je ne pus me retenir, et les soubresauts envahirent mes reins, mon bas-ventre, et je me sentis exploser sur lui, sur son membre, sur son bas-ventre.
Je voulais m'écrouler sur le lit, mais ses mains me maintenaient maintenant les épaules... "Non non ma belle! J'en ai pas fini avec toi!" Et sa langue lécha sensuellement ma joue trempée de sueur.
Je tentais un timide non... Lorsque son gland se présenta à mon oeillet. Et c'est le plus doucement du monde, que je sentis mes chairs s'ouvrir, et son gland puis son membre investir mes chairs les plus intimes. J'aurai voulu lui dire d'arrêter, le repousser, mais je ne gérai plus rien. Ma tête carillonnait, mes sens semblaient anesthésiés, juste du plaisir qui remontait. L'impression que mon bas-ventre, que mon sexe, que mes entrailles allaient exploser de plaisir... Et je me surpris à le supplier... Plus fort... Plus vite... Baise -moi!
J'attendis un Quoi souriant et vainqueur... Baise moi!!!!!!!!!!!!!!
C'est à cet instant qu'il accrocha mes hanches et qu'il se mit à aller et venir comme un Diable entre mes fesses, qui l'aspiraient voulant le retenir au plus profond de moi!!! Il me fit me redresser, cambrée, prenant possession de mes seins, les empoignant à en laisser la trace de ses doigts, pendant que je montais et descendais dans une course éperdue sur son membre envahissant. Ma tête chancellante, bouillonnante, sur son épaule, mes râles, mes soupirs, mes gémissements, mes cris envahissaient ma chambre qui sentait le sexe à l'état brut. Jusqu'à ce qu'il se mette à tenir un rythme frénétique qui me fit hurler... Son râle se mêlant cette fois-ci au mien....
Nous nous sommes écroulés, repus, épuisés, en sueur, haletants... Un léger sourire à son visage vint répondre à mes larmes et mes tremblements incontrôlés. Nous sommes restés de longues minutes ainsi afin de reprendre nos esprits...
Et deux clopes plus tard...... Nous recommencions!
